News Pékin Express Les mondes inconnus / Duos de choc

Les interviews des candidats de Pékin express duos de choc : Chloe

Pékin express duos de choc c'est chaque samedi dès le 6 novembre 2010 sur M6. Voici au fure et à mesure les différentes interviews presse des candidats de l'émission, qui sont des peoples, animateurs tv, journalistes, comédiens etc...


CHLOE « Maintenant qu'on est là, on a envie de gagner ! »
Chloé, si vous organisez une grande soirée pour la finale, c'est tout de même que le résultat doit être bon...
(Rires) C'est ce que tout le monde me dit. Mais vous ne m'aurez pas comme ça. Je n'ai le droit de rien dire, et je ne dirais rien. Et c'est normal, d'ailleurs. Même ma famille ne connaît pas le résultat. À part ma maman, je dois l'avouer.

Bon... Mais est-ce que ça vaut le coup d'oublier la dinde et la bûche le temps d'une soirée et de regarder la finale ? Bien sûr. Je n'ai certes pas vu les images, mais ça s'annonce forcément passionnant. J'ai moi-même peur de découvrir les images, car, enjeu oblige, il y a eu de forts moments de tensions entre les équipes. Et puis, la fatigue, le manque des proches. À ce stade du jeu, on était parti depuis plus d'un mois, et mon fils me manquait grave. Alors forcément, il y aura aussi de l'émotion.

Elle est comment cette finale ? Difficile ? Plus que les autres épisodes ? Non... Enfin, si. Je n'oublie pas que l'ascension du volcan fut particulièrement pénible pour moi lors de la précédente étape. Mais celle-là est forcément plus intense. D'abord pour se qualifier pour le sprint final, puisque nous devons participer à trois jeux dont l'un est éliminatoire (mais les candidats ne savent pas lequel, Ndlr). Puis, les deux équipes qualifiées pour le sprint final doivent parcourir toute la ville de Pondichery. Avec la pression de la victoire, c'est chaud.

Quel que soit le résultat, arriver en finale, c'est déjà
une belle revanche, non ? C'est évident. C'était mon objectif d'ailleurs. Mais à être arrivée là, maintenant, je veux gagner forcément.

Ce 'Pékin Express', il était plus difficile que le précédent ? Physiquement, non. Mais nerveusement et psychologiquement, il n'y avait rien de comparable. Vraiment pas.

Peut-être parce que le 'boulet' de l'équipe, cette fois, c'était vous...
(Rires). Un peu. Mais juste sur les épreuves d'endurance. C'est vrai que quand j'ai vu que mon équipier, c'était Taïg Khris, j'ai eu peur de le ralentir. Je l'avais vu dans Koh Lanta. Ou lorsqu'il a sauté de la Tour Eiffel à roller. Je savais qu'il allait être exigeant avec moi. Mais finalement, ça s'est hyper bien passé. Il a dit d'ailleurs, que je n'ai pas été un boulet (rires).

Et votre 'boulet' de la précédente émission, vous ne lui en voulez plus ? Je l'ai même appelée pour la remercier Anne-Marie. Si on avait été éliminées de façon normale, dans le jeu, M6 ne m'aurait certainement pas appelée. Là, c'est une véritable chance que j'ai eue. Je dois avoir une bonne étoile. On n'est pas devenue copine, mais on s'appelle parfois.

Finalement, en dehors du résultat, quels souvenirs vous gardez de l'émission ?
La richesse du cœur des Indiens. Ils vivent dans la misère et pourtant, chaque soir, les familles qui nous hébergeaient nous ont offerts à manger. On n'a jamais eu faim. Et puis, il y a la visite du Taj Mahal ou la nuit dans un palace. Je ne suis pas sûr d'avoir l'occasion de revivre ça.

Et après 'Pékin' ?
On verra. Si Luc Besson m'appelle pour son prochain film, j'irai bien sûr (rires). J'aimerais rebondir sur cette émission, cette médiatisation. Mais je suis réaliste. Il y a peu d'opportunités. J'ai la chance d'avoir un enfant, un métier, un toit. Si ça reste comme ça, ça sera très bien aussi. Et je me souviendrais que Pékin Express, c'était rigolo, que j'ai eu droit à ma petite heure de gloire... Et puis voilà.
Recueilli par Ludovic TRABUCHET MIDI LIBRE 25/12/2010


Sandrine Corman à TELE 7 JOURS
Si les deux aventuriers partis en Inde "ne se connaissaient pas avant de partir ou alors très mal", elle admet que leur binôme "a super bien fonctionné".
"On était très complémentaires, on a beaucoup ri, je pense que les téléspectateurs rigolent aussi beaucoup avec nous, mais on était vraiment là l'un pour l'autre dans les moments où ça allait moins bien." Le secret de leur arrivée en finale face à Taïg Khris / Chloé et Frédéric Lama / Hoang ? Sandrine Corman et Stéphane Plaza étaient en tout cas partis pour gagner l'émission : "Avant de partir on s'appelait : "Ouais on va gagner, on va aller au bout, on va tout faire pour y arriver !"", raconte la candidate.
Le bénéfice qu'elle retient de sa participation au jeu d'aventure d'M6, c'est de n'avoir "aucun regret" : "On a vraiment le sentiment d'avoir tout donné, de s'être donnés à fond, de s'être même dépassés." De plus, l'ex Miss Belgique a remarqué que son image auprès des téléspectateurs avait changé, en bien : "Je reçois vraiment beaucoup d'avis positifs par rapport à cette émission, beaucoup de commentaires où les gens m'encouragent, où ils disent "oh vous êtes supers dans l'émission"."
Avant d'ajouter : "Les gens me voient en général plutôt glamour, maquillée, bien habillée... Et dans Pékin Express, ils peuvent me voir comme je suis au quotidien, au jour le jour, sans maquillage, décoiffée parfois... Je n'ai vraiment pas fait cette émission dans ce but là, j'ai participé à l'émission parce que j'en avais envie, parce que je suis une fille qui aime bien les trucs un peu extrêmes et qui aime bien se lancer des défis."



Hoang à France-Dimanche.
Pourt le candidat : "Le binôme que nous formions avec Frédéric Lama était idéal ! Notre entente était parfaite. J'étais en phase avec mon partenaire. Je n'ai d'ailleurs pas manqué de lui chanter la chanson de son père, Je suis malaaaaaade, à tue-tête, et on n'a pas arrêté de rire . Grâce à cette aventure, j'ai gagné un ami. A travers Pékin Express, nous sommes devenus très proches. On s'appelle souvent, et dès qu'on le peut, on se voit ! On a partagé tant de moments forts... Et puis Frédéric est quelqu'un que j'admire énormément. Il a beau être un "fils de...", il est très simple".
Puis parle de ce qu'il faisait avant d'intégrer le jeu : "La production s'occupait bien de moi. Je dormais dans des hôtels tout confort, je visitais le pays avec un guide, je mangeais de bons repas. Rien à voir avec Pékin Express ! Je voyageais gratis" ! Hoang revient aussi sur sa première édition de Pékin Express, la saison 5 : "Je garde un meilleur souvenir de ma première expérience, même si ma soeur et moi n'étions pas toujours en phase sur le plan émotionnel. D'autant que l'aventure nous a énormément rapprochés. Avant d'y participer, nous nous étions perdus de vue. Depuis, on se voit tout le temps et j'en suis très heureux ! J'ai très envie de tenter ma chance à la télévision. J'adorerais pouvoir être chroniqueur dans une émission drôle, chez Cauet par exemple. J'ai d'ailleurs commencé à en parler autour de moi et à prendre des contacts... On verra bien" !



La Bagnolaise Chloé en route vers la finale de Pékin Express
Chloé, c’est ce soir la demi-finale. Ça doit commencer à devenir difficile.
En effet. À ce stade du jeu, on courait depuis plusieurs semaines déjà. Et la production ne nous a pas épargnés. Dans cette demi-finale, il nous faut par exemple réaliser l’ascension “à pic” d’un volcan. Sur au moins 15 km. J’étais crevée, Taïg (Khris, son équipier) voulait que j’aille plus vite. Ce sont les premières tensions entre nous.

Et avec les autres concurrents, avec la finale en vue, la tension est-elle plus forte également ?
Bien sûr. On est quatre, on se doute qu’il n’y en aura plus que trois au bout. Et comme c’est pour la finale, personne ne veut rien lâcher. Alors même si on visite un temple, si on se fait baptiser par un éléphant, des moments vraiment agréables, ça commence à devenir tendu.

Tout le monde doit vous demander jusqu’où vous allez dans cette aventure...
En effet (rires). Et je leur explique que je ne peux rien dire. Mais qu’il y aura encore des surprises. Plus qu’une semaine à tenir...
MIDI LIBRE 18DEC 2010

Stéphane PLAZA sur DIRECT8 Vendredi 17 décembre


Les hardis dandys de Pékin Express à TV MAG
Emmanuel de Brantes et Albert de Paname se sont évertués à prouver que leur réputation de jet-setteurs ne serait pas un handicap dans Pékin Express. Dans l'interview qu'ils ont accordée à TV MAG, ils révèlent le secret de leur très aristocratique stratégie... « On était ce qu'on était, mais malgré l'étiquette de jet-setteurs qu'on nous avait collée sur le dos, nous avons montré une âme de compétiteurs » nous ont avoué avec une fierté certaine Albert de Paname et Emmanuel de Brantes.
Il est vrai que ce tandem improbable composé d'un directeur de galerie d'art (Emmanuel) et d'un DJ (Albert) avait peu de chances de briller dans Pékin Express. Et pourtant... leur philosophie, leur humour, leur débrouillardise aussi, ont marqué l'aventure indienne de M6.
En vidéo, avec la verve qui les caractérise, il nous font partager leurs plus mémorables souvenirs de Pékin Express.




Plaza: «Pékin est une leçon de vie»
En se lançant dans l'aventure Pékin Express, Stéphane Plaza a voulu prouver à lui-même et aux autres de quoi il était capable. Un défi de taille pour le célèbre agent immobilier, présentateur de Maison à vendre, opéré de nombreuses fois aux jambes.
Stéphane Plaza, participer à Pékin Express semblait être un challenge qui vous tenait à cœur, pourquoi ?
Ce jeu était important pour moi. Je voulais prouver que je pouvais tenir physiquement malgré les sept ou huit opérations que j'ai subies aux membres inférieurs. J'ai beaucoup souffert, mais je me suis concentré sur la course et cette aventure a été une vraie leçon de vie.

Vous vouliez prendre une revanche ?
Quand j'ai commencé mes émissions, je boitais et on m'a fait des remarques désobligeantes. J'en avais aussi assez qu'on m'appelle Jeoffrey de Peyrac... Faire ce jeu résonnait comme une mise au point pour moi et mon entourage. Je ne parle ni anglais ni espagnol et je voulais aussi voir si je pouvais me débrouiller.

Au fil des épisodes, on vous découvre avec un fort caractère et limite mauvais joueur...
Quand je fais quelque chose, je ne calcule rien. J'y allais pour un jeu qui s'est transformé en compétition. Je déteste être le dernier, quand je fais quelque chose, je le fais à fond ! On me découvre donc avec un caractère plus affirmé et moins docile, mais toujours aussi maladroit. Avec Sandrine, notre sens de l'humour nous a sauvés.

Qu'est-ce qui était le plus difficile sur place ?
La pauvreté ! Quémander à manger à des gens qui n'ont rien quand on est animateur et que l'on gagne bien sa vie est vraiment difficile. Et aussi la chaleur, le fait que nous ne dormions que deux ou trois heures par nuit. C'était bien plus dur que je ne l'avais imaginé, notamment psychologiquement. Je suis content de l'avoir fait, mais je ne le referais pas.

Votre nouveau programme Les Experts, c'est vous, est un succès...
Je viens d'apprendre qu'il était prolongé jusqu'à fin mars, nous allons donc tourner dix nouveaux épisodes. Ce rendez-vous permet de découvrir des astuces et des bons plans. Comme dans mes autres émissions, j'ai toujours une grande proximité avec les gens. Je passe deux jours avec les familles et il y a vraiment une bonne ambiance.
A savoir
Stéphane Plaza a subi sept opérations aux membres inférieurs. À la suite de chutes dans les escaliers ou à moto, l'animateur de M6 s'est cassé le calcanéus, puis les chevilles et le plateau tibial. « Sur place, je ne pouvais pas me plaindre, mais j'ai eu très mal aux chevilles le matin. Jouer en équipe vous oblige à courir malgré la douleur. »
TVMAG.COM


Taïg Khris, gentleman de Pékin Express : tvmag




L'équipe FILS FILLE DE
Vous connaissiez-vous avant de participer à “Pékin Express” ?
Victoria : Nous avons seulement pris un café quelques jours avant le départ. On s’interrogeait mutuellement sur les destinations possibles. Fred m’a semblé “très motivé” puisqu’il est venu me rencontrer avec ses futurs godillots pour l’aventure, orange fluos, qu’il voulait faire à ses pieds !
Frédéric : Non, je ne la connaissais pas du tout. On a vraiment appris à se connaître sur le “terrain”.

Qu’ont pensé vos parents de votre participation à cette aventure ?
Victoria : Mes parents ont été à la fois surpris et très heureux pour moi. Je suis une téléspectatrice assidue de l’émission depuis plusieurs années. Lorsqu’il nous arrivait de regarder Pékin ensemble, combien de fois ai-je dit à ma mère : “Je me vois tellement dans cette émission !”. Elle, en revanche, ne m’y voyait pas du tout ! Ils étaient très admiratifs car ils pensent que participer à cette aventure demande motivation mais aussi courage.
Frédéric : Ils m’ont dit : “Cool, ca va être une belle expérience et tu vas bien galérer...”. (rire)

Quels étaient les poins faibles et les points forts de votre duo ?
Victoria : Nos points forts sont notre jeunesse, une même motivation dans la volonté d’aller jusqu’au bout de l’aventure et une maîtrise de l’anglais. Pendant la course, on a su mettre de côté nos caractères opposés pour avancer quand même et aller vers les gens. Côté point faible : nous n’avions pas le même humour... (rire)
Frédéric : Effectivement, notre jeunesse et notre dynamisme sont notre force tandis que nos caractères très différents nous ont posé quelques problèmes d’adaptation…



Les dandys
Emmanuel Connu pour ses chroniques mondaines mais aussi pour ses apparitions au cinéma, comme dans “Jet Set”, qu’il a co-écrit avec Fabien Onteniente, Emmanuel de Brantes est l’archétype du “mondain”. Très cultivé et fervent adepte du second degré, Emmanuel dirige aujourd’hui une galerie d’art contemporain, le Studio 55 à Paris. Albert Albert, quant à lui, est un homme de la nuit. DJ, il mixe dans les clubs européens les plus branchés depuis ses débuts en 1965 : le mythique Balajo, le Café de Paris à Londres, les Bains, les vendredis chez Maxim’s, dont il est l’instigateur avec Pierre Cardin… Comme son coéquipier, il apparaît également au cinéma dans “Disco” de Fabien Onteniente dans lequel il joue un DJ fan de musique disco. Aujourd’hui, les “clubbers” peuvent le retrouver tous les vendredis à la Nouvelle Eve où il anime une soirée burlesque et rétro !
Peu habitués aux exploits sportifs, la production de “Pékin Express” vous a-t-elle épargné certaines épreuves ?
Emmanuel : La production a pris grand soin de nous traiter comme tout le monde. Des candidats lambda sans privilèges particuliers.
Albert : Non, nous avons été traités à la même enseigne que les candidats des autres années. Tous les deux “membres” de la jet set parisienne, vous êtes les candidats qu’on attendait le moins dans l’aventure “Pékin Express”.
Pourquoi avoir accepté ce défi ?
Emmanuel : Je gère maintenant une galerie d’art et travaille sur plusieurs projets. J’ai accepté ce défi parce que tout ce qui sort de la routine m’intéresse.
Albert : Ce n’est pas parce que je travaille dans le milieu de la nuit et que je fréquente la “jet set” que je suis une petite nature. “Pékin Express” permet aussi de supprimer ces idées préconçues


L'équipe CAMERA CAFE à Télé loisirs


Victoria Monfort raconte son Pékin Express
Associée à Frédéric Lama dans Pékin Express : Duos de choc, Victoria Monfort nous parle du début de son aventure en Inde. La fille de Nelson Monfort explique les raisons du départ difficile pour elle et son binôme. Entretien pour TVMag.com.
Victoria Monfort, aviez-vous suivi le premier épisode de Pékin Express samedi dernier sur M6 ?
Bien sûr ! Le montage de l'émission est très bien fait. On retrouve bien le contexte, les paysages et les difficultés de la course. Il n'y a rien de superficiel, on est tout de suite dans le jeu. Sur un plan plus personnel, mes trois premiers jours avec Frédéric (Lama) ont été les plus difficiles. J'ai retrouvé ces tensions que l'on a eu au début. Et j'ai bien apprécié mon portrait.

On a tout de même l'impression d'un manque de complicité dans votre duo avec Frédéric Lama...
Une fois en Inde, nous ne savions pas vraiment quand nous allions débuter le jeu. Le lancement s'est décidé en 10-15 minutes. Il a fallu très vite s'organiser et trouver cette complicité. Nous avons eu du mal et les tensions sont apparues assez vite. Mais avec le temps, notre entente s'est améliorée. Cela a rendu la course plus facile et notre communication bien plus agréable.

Que pouvez-vous nous dire de Frédéric Lama en quelques mots ?
L'image que l'on voit de lui est assez vraie. Il m'a beaucoup aidé le premier jour lorsqu'il a fallu franchir la zone d'éboulement. J'étais assez paniquée à ce moment-là. Il a su m'épauler, me tenir la main et m'encourager. Après, c'est vrai que nous n'avons pas forcément le même humour et le même caractère. Mais nous avons réussi à nous entendre. Le seul reproche que j'avais à lui faire était d'être trop autoritaire. Il voulait souvent prendre le dessus. Mais c'était bénéfique par moments.

Les conditions de jeu sont assez effrayantes dans ce premier épisode avec des éboulements répétés. Avez-vous songé à abandonner ?
Non, jamais. Les images sont impressionnantes, c'est vrai. Les trois premiers jours ont été les plus difficiles mais l'envie d'avancer dans cette course était plus forte.

Aviez-vous déjà eu l'occasion de faire du stop ?
Non, je ne l'avais jamais fait. J'avais beaucoup regardé Pékin Express par le passé et j'avais envie de le faire avec un proche. C'est une belle aventure, autant sur le plan physique que humain. J'ai voulu aborder le jeu le plus naturellement possible, sans entraînement particulier. Je ne suis pas quelqu'un de timide, je vais facilement vers les gens donc l'idée de demander un toit ou de faire du stop ne m'effrayait pas.

Saviez-vous à l'avance que vous seriez en binôme avec Frédéric Lama ?
Non. J'ai accepté la proposition de participer à Pékin Express au moment où j'enregistrais une émission pour W9 (L'académie des boulets). J'ai dit oui avant même de savoir avec qui je serai associée. On m'avait d'abord parlé d'un duo W9, puis d'un duo avec quelqu'un que je ne connaissais pas du tout et finalement, deux-trois semaines plus tard, on m'a annoncée que je ferai l'aventure avec Frédéric. On s'est rencontré trois ou quatre jours après et environ deux semaines avant le départ en Inde.

Parlons un peu de vous, quel est votre parcours ?
J'ai un parcours axé sur le journalisme puisque je suis diplômée de l'école supérieure de journalisme. A côté de ça, j'ai toujours suivi des cours de comédie. Je prépare un Master de cinéma et de théâtre à la Sorbonne. Les stages que j'ai pu faire grâce à ma formation m'ont motivée à faire ce métier. Davantage en tout cas que de voir mon père travailler à la télévision. J'ai eu la chance de faire un long stage à Direct 8 qui m'a permis d'être engagé dans l'émission Voyage au bout de la nuit que je présente depuis plus de deux ans. Il y a eu la Morandini Academy auquel j'ai participé. Je venais tout juste d'être diplômée quand j'ai accepté l'opportunité de présenter L'académie des boulets sur W9 et je travaille sur d'autres projets avec cette chaîne.

Pourrait-on être amené à vous revoir sur une nouvelle émission d'ici juin 2011 ?
Oui ! Je pense et je l'espère en tout cas. J'ai la chance de pouvoir travailler avec Direct 8 et W9 et je n'ai pas de contrat d'exclusivité avec ces deux chaînes. Si une très belle opportunité se présente avec un contrat à la clef... J'ai des rendez-vous mais je ne préfère pas en parler pour le moment.

Quelle téléspectatrice êtes-vous ?
J'aime beaucoup regarder les talk-shows. Je suis très souvent Le grand journal sur Canal+ et aussi Morandini! sur Direct 8. C'est une émission média très grand public qui est très sympa à regarder. Je suis très cinéma, j'y vais toutes les semaines. J'aime les émissions de société et de faits divers. Je regarde beaucoup de séries américaines comme Desperate Housewives, Grey's Anatamoy et Gossip Girls.

Vous qui aimez et qui étudiez le cinéma, quels sont les derniers films qui vous ont marqué ?
J'ai adoré le film de Ben Affleck, The Town. Egalement Elle s'appelait Sarah que j'ai trouvé très émouvant et très profond. Le dernier film que j'ai vu est Buried de Rodrigo Cortes. J'ai vraiment apprécié la performance de Ryan Reynolds qui est le seul acteur de ce film. Je regarde beaucoup de films américains. J'ai une vraie passion pour le cinéma.
Interview réalisée par Damien Mercereau tvmag



Confidences d'Isabelle Morini-Bosc, éditorialiste à TVMAG, qui vient de participer à Duos de choc, l'édition spéciale de Pékin Express en Inde. Isabelle Morini-Bosc avait souvent couvert Pékin Express pour RTL. Cette fois, la production l'a sollicitée pour former un tandem inédit avec l'ex-rugbyman Christian Califano. « Objectivement, c'est conforme à ce que j'imaginais. C'était très dur », explique la survivante, en soulignant que les people ont subi des épreuves de quarante-huit heures que les candidats classiques accomplissent habituellement en trois jours.
« Moi, qui n'ai pas la chaleur esthétique, j'arrivais souvent dans un état de décomposition avancée. Et, quand j'ai découvert les premières images, j'ai vu le désastre ! » Pourtant, même marquée physiquement (comme son partenaire, qui a perdu plus de 6 kg sur 120), Isabelle n'a jamais eu envie de jeter l'éponge. Elle ajoute : « L'Indien est non seulement tactile, mais aussi très gentil... ». Tactile ? Derrière un sourire qui en dit long, la journaliste avoue : « Disons qu'il aime bien tripoter, vous met le bras autour du cou, vous touche la joue et plus si affinités... ».
Heureusement, les traducteurs n'étaient jamais très loin pour traduire les limites. Coups de colère, épuisement, pénalités inhumaines, pluies diluviennes, menaces du Gange... Isabelle et Christian ont vécu l'enfer, mais, après une aventure aussi intense, des liens très forts se sont tissés. La reporter et le sportif sont même passés à un cheveu de la faute. « Lorsque nous avons failli gagner une nuit dans un palace, il m'a dit : "Tant pis pour nos conjoints, si on remporte cette épreuve d'immunité, je te fais l'amour sur la moquette...". Je le soupçonne d'avoir fait exprès de perdre pour ne pas avoir à honorer le contrat ! »
TV MAG Novembre 2010


ITW Isabelle Morini Bosc à TVMAG



“On s’est vraiment prêtés au jeu” (09/11/2010)
BRUXELLES En duo avec Stéphane Plaza, animateur sur M6, Sandrine Corman s’est lancée dans l’aventure Pékin Express . Une expérience qu’elle n’oubliera pas de sitôt. Et les téléspectateurs non plus !
Vous vous êtes retrouvée en face de Stephan Rosenberg, avec qui vous avez travaillé. Mais cette fois vous étiez de l’autre côté !
“Au début, c’est très bizarre car j’étais à la place des candidats alors que j’étais à côté de lui pendant Top Chef. Il est hyper-professionnel et il ne nous a pas favorisés alors qu’il nous connaissait mieux que les autres. Il a vraiment gardé sa place de présentateur. Finalement, on le voit très peu, au début des étapes et à la remise des classements. Mais il m’a quand même dit que je l’avais surpris !”

Vous avez été malade pendant le jeu…
“Oui. J’ai fait une belle chute et je me suis blessé le genou. Nous avons évidemment eu des ampoules aux pieds et de petits problèmes de gastro habituels en Inde ! Mais j’ai eu 39 de fièvre à cause de ganglions aux oreilles. J’ai également eu une allergie sur les jambes.”

Même avec 39 de fièvre, vous avez continué l’aventure ?
“J’étais quand même un peu dans le cake. Mais j’ai tenu le coup. Plein de fois j’ai voulu abandonner mais je savais que je ne le ferais pas !”

Quelle motivation vous a fait avancer ?
“Au départ, je me suis dit que c’étaient des people qui participaient à l’aventure et que donc ils viendraient pour leur image, pour relancer leur carrière, et que, du coup, ils ne seraient pas motivés. Et nous, nous étions super-motivés, donc nous pensions que ce serait simple face à eux. Mais nous nous sommes vite rendu compte que tout le monde était à fond dans le jeu ! Une fois qu’on est sur place, on se prête au jeu, c’est surprenant.”

Quelle relation avez-vous eue avec les autres équipes ?
“On les voit peu finalement. On se croise parfois sur la route et il y a des équipes avec lesquelles nous avons eu plus d’affinités que d’autres. Nous avons beaucoup ri avec les dandys. Nous avons fait une étape avec eux et c’était génial.”

Qu’est-ce qui vous a le plus manqué ?
“Mon fils Oscar ! Ce n’est pas du tout l’hygiène ! Cela ne m’a pas dérangée de ne pas pouvoir me laver tous les jours. Dormir par terre n’est pas des plus agréables mais c’est une bonne leçon, une bonne claque. Aujourd’hui, je me rends vraiment compte de la chance que nous avons. Certaines personnes feraient bien d’aller faire un petit séjour en Inde ! L’hospitalité de ces gens est surprenante. Ils n’ont presque rien et ils donnent tout, ouvrent leurs portes, nous font à manger.”
Interview > Sophie Lagesse © La Dernière Heure 2010

ITW par Télé loisirs, de Chloe l'ancienne candidate de la saison 5 qui est revenue


L'EQUIPE DES EXPERTS Isabelle Morini Bosc et Christian Califano
Avez-vous, avant le début de l’épreuve, été inquiets des capacités physiques de votre co-équipier ?
Isabelle : Pas une seconde ! Avec Christian comme binôme, il n’y avait pas de raison d’être inquiète. J’étais plus en doute concernant mes propres capacités physiques…
Christian : J’avoue avoir eu un peu peur au début mais Isabelle m’a impressionné. Elle était courageuse, volontaire, endurante… si je dois repartir sur “Pékin Express” ce sera avec elle et personne d’autre. Même sur mon prochain Dakar je serais prêt à la prendre comme coéquipière. J’ai vraiment découvert une femme extraordinaire !

Quels étaient les points forts de votre duo ?
Isabelle : Nous étions très complémentaires. Moi j’observais les gens pour repérer la personne la plus à-même de nous aider et lui avait une force de conviction et de frappe impressionnantes. Au final, à nous deux, nous étions un binôme endurant !
Christian : Notre point fort, c’est notre vision commune du jeu : nous avions constamment en tête que nous nous battions pour une association et malgré la compétition nous voulions aussi prendre le temps de profiter des rencontres.

Quel est votre pire souvenir ?
Isabelle : Je me souviens d’une épreuve d’habileté où je n’ai pas excellé. Je n’y arrivais pas et cela me tapait sur les nerfs. Je sentais l’agacement de Christian qui se contenait à côté de moi. Dans ces cas-là, on veut tout sauf décevoir son équipier.
Christian : Le pire est d’avoir marché des kilomètres et des kilomètres sous une pluie battante. C’était l’horreur ! Mais pour chaque épreuve physique pénible, il y avait toujours du bon à retenir : la fierté de s’être battu jusqu’au bout et de former un binôme solide


Chloe est de retour dans "Pékin Express"
La jeune et jolie bagnolaise revient ce soir sur les écrans de M6 dans le premier épisode “Les duos de choc“. Voilà quelques mois, plus exactement en avril dernier, la jeune et jolie bagnolaise, Chloé, avait ému la France avec sa prestation dans Pékin Express. Ses fans n’avaient pas apprécié que sa partenaire Anne-Marie la laisse tomber, préférant purement et simplement abandonner au beau milieu d’une étape.

« Avec le recul, je lui dis tout simplement merci », raconte Chloé. Et pour cause, la production l’a rappelée pour le tournage d’une édition spéciale de Pékin Express “Duo de chocs”, dont le premier épisode sera diffusé ce soir, à 20 h 40, sur M6.

Chloé s’est donc retrouvée au beau milieu d’un parterre de journalistes, de stars du show-biz, de comédiens, d’acteurs, d’anciens sportifs de haut niveau, Stéphane Plaza, Sandrine Corman, Alain Bouzigues, Jeanne Savary, Emmanuel de Brant, Albert de Panama, Isabelle Morini-Bosc, Christian Califano ou encore les enfants de Serge Lama (Frédéric) et de Nelson Monfort (Victoria)...

« Je suis en binôme avec Taïg Khris, champion du monde de roller dans un “Pékin Express” imaginé en huit étapes. Comme d’habitude, nous n’avons droit qu’à 1 € par jour pour subvenir à nos besoins », explique Chloé.

Pendant près de deux mois, les seize candidats vont traverser l’Inde, du nord au sud, en parcourant entre 4 000 et 5 000 km, du pied de l’Himalaya jusqu’à l’océan indien, en passant par Delhi et le célèbre Taj Mahal : « Nous commençons notre première étape dans des endroits très dangereux, malmenés par les catastrophes naturelles. Nous sommes dans les éboulements, ce qui n’a pas manqué de poser de gros problèmes. Nous sommes passés très près de la catastrophe », commente Chloé.

Dès ce soir, un premier binôme quittera Pékin Express Duo de chocs. Et cette fois, Chloé est bien décidée à aller jusqu’au bout.
Jean NOTÉ MIDI LIBRE 6/11/2010


Stéphane Plaza au JDD : "Je ne referais jamais Pékin Express!"
Stéphane Plaza, l'agent immobilier qui cartonne sur M6, notamment dans Recherche appartement ou maison. Pour leJDD.fr, il a accepté de raconter son aventure, "beaucoup plus dure que ce qu'[il] ne l'imaginai[t]."

Avez-vous hésité avant d'accepter de faire votre sac à dos pour l'Inde?
Je vais vous faire une confidence: cela faisait deux ans que je harcelais la chaîne pour participer à Pékin Express! Je n'avais qu'une seule condition: y aller pour mon association: 50 millions d'amis. En revanche, mon entourage était un peu plus réticent, car il m'arrive toujours des trucs incroyables, je suis un peu "Pierre Richard" parfois. D'ailleurs, deux jours avant le départ, on m'a appelé pour me dire qu'il y avait un problème avec mon passeport… j'ai bien failli ne pas partir! En plus je dois connaitre 30 mots d'anglais. Ma productrice hésitait aussi car elle avait peur que je revienne en mille morceaux.

Vous saviez que vous partiez en Inde?
Pas du tout! Je l'ai appris à l'aéroport. Et je dois vous avouer que c'est le seul pays dans lequel je ne voulais pas aller…La rencontre avec l'extrême pauvreté de ce pays m'inquiétait. J'aurais préféré découvrir l'Amérique du sud, cela aurait été plus festif je pense. En plus, à part l'Himalaya dont je garderai un magnifique souvenir, j'ai l'impression de n'avoir rien vu de l'Inde! On est tout le temps concentré, toujours à fond, donc on a autre chose à faire que d'admirer les paysages.

Comment s'est passée la collaboration avec votre binôme, Sandrine Corman*?
Excellemment bien. Je suis tout sauf faux cul donc si ça c'était mal passé, je le dirai sans souci. J'ai d'ailleurs refusé des noms à la production, mais je ne vous dirai pas lesquels (rires)! On a le même sens du comique, et je pense que l'on va vous faire marrer. On a vécu de grandes choses ensemble.

Qu'est-ce qui a été le plus dur à vivre?
En août, c'est une folie complète ce pays, il fait 45 degrés et nous on courait comme des cons un peu partout (rires)! J'ai eu des soucis intestinaux à cause de l'alimentation très épicée, on dormait parfois par terre à même le sol, bref je suis sorti de cette émission dans un état terrible.

Stéphane Rotenberg a avoué que vous aviez bénéficié de certains privilèges, comme le fait de dormir à l'hôtel ou de pouvoir passer des coups de téléphone…
C'est vrai, je ne vais pas vous mentir… Cela dit, on parle ici d'hôtel indien, pas de grand palace, vous voyez ce que je veux dire… Jamais plus je ne me plaindrai quand ma boite de production me demandera de dormir dans un Campanile (rires). Je dois quand même vous expliquer pourquoi on a eu droit à ce qui ressemble en effet à des privilèges. En raison de contraintes de temps, nos étapes duraient deux jours, alors qu'elles sont normalement de trois jours pour des candidats lambda. Résultat: on arrivait dans les villages à 22h au lieu de 17h, donc c'était très compliqué de trouver un logement chez l'habitant.

Vous n'avez pas le sentiment d'avoir manqué quelque chose dans le relationnel avec les locaux…
Pour être franc, on était tellement claqué le soir que l'on n'avait qu'une seule envie: dormir! Mais on a tout de même été à la rencontre des gens, rien qu'en faisant du stop par exemple. Ce qui me restera comme souvenirs; ce sont ces gens qui n'ont rien et qui vous donnent tout. Je ne suis pas le même qu'avant ce voyage, c'est une certitude.

Avez-vous pensé à arrêter pour retrouver le confort de votre appartement parisien?
Pas un seul instant, et pourtant j'en ai bavé! Mais sans tomber dans le corporatisme de base, nous étions les deux seuls représentants de M6, donc ça aurait quand même été moyen d'abandonner non? Je voulais faire Pékin Express, je l'ai fait, cela a été une expérience magnifique, beaucoup plus dure que ce que je ne l'imaginais. Je suis fier de moi, même si je ne referais jamais Pékin Express. Une petite déception, tout de même: je pensais que c'était un jeu, et on m'a très vite fait comprendre que c'était une compétition. Ça ne s'est pas très bien passé avec tous les candidats…
LE JDD.FR 5 NOVEMBRE 2010



L'EQUIPE CAMERA CAFE :Alain & Jeanne
Avez-vous gardé votre sens de l’humour malgré les difficultés ?
Alain : J’ai essayé ! L’humour, pour moi, est une manière de prendre de la distance avec ce que l’on vit. Avec Jeanne, on s’est pris des fous-rires mémorables en fin de journée, pendant l’enregistrement des plateaux ! Après tout, perdre son sang-froid par une telle chaleur, ça se tient, non ?...
Jeanne : J’ai essayé de garder mon sens de l’humour mais je n’y arrivais pas toujours ! Entre la fatigue et la chaleur, on le perd parfois et à d’autres moments, à l’inverse, on rigole pour rien. Notre concentration en pâtissait parfois car il nous arrivait de privilégier ces moments de complicité à la course.

Aviez-vous prévu quelque chose de particulier pour les locaux ?
Alain : Partant du principe que le rire est un langage universel, qu’il est le propre de l’homme et que rire ça vaut un steak, pour l’aventure, j’avais emporté 224 nez de clown ! L’idée était surtout de laisser aux enfants un souvenir impérissable et drôle à la fois. Et la bonne surprise, c’est que ça a très bien marché aussi sur les adultes !
Habitués à être “chouchoutés” sur les tournage de télévision ou de cinéma, comment avez-vous vécu les conditions extrêmes de cette aventure ?
Alain : Il est vrai que sur “Pékin” on supporte très vite des choses qu’on refuserait purement et simplement lors d’un tournage conventionnel. Dans les moments les plus difficiles, je savais que je pouvais compter sur ma partenaire. Les indiens disent : “vous avez les montres, nous on a le temps !”. C’est une façon de voir la vie qui me parle.
Jeanne : Le contraste était même violent parfois : physiquement, même si je savais qu’il ne s’agissait pas d’une colonie de vacances, et psychologiquement, suite à des rencontres marquantes avec des familles. C’était une expérience très forte et chargée en émotions !


ITW de nombreux candidats



LES ANIMATEURS TV : Stéphane et Sandrine
Vous connaissiez-vous avant “Pékin Express” ?
Comment s’est passée votre collaboration ?
Sandrine : Stéphane et moi ne nous connaissions pas vraiment avant “Pékin Express”, nous avions seulement eu l’occasion de nous croiser lors d’événements ou de soirées. Notre collaboration s’est vraiment bien passée... j’ai découvert un garçon extra, plein d’humour, de vie mais aussi très sensible. On a beaucoup ri, beaucoup pleuré, on s’est soutenus l’un l’autre dans les moments difficiles. Je suis vraiment ravie d’avoir vécu cette aventure avec lui. Je suis rentrée avec plein de souvenirs et avec un nouvel ami aussi !

Stéphane : Nous nous étions juste croisés mais nous avons vite découvert un sens de l’humour en commun. Cela nous a aidé à tenir lors des moments difficiles. En plus, qui ne rêverait pas de faire “Pékin Express” avec Cameron Diaz !

Quand on part sur une aventure comme “Pékin Express”, est-on inquiet ou soucieux de l’image qu’on va donner de soi ?
Sandrine : Je suis partie sur cette aventure sans penser une seule seconde à mon image. Nous sommes restés nous-mêmes du début à la fin, sans masque, sans fard... au sens propre comme au
figuré d’ailleurs. J’ai toujours parlé avec mon coeur, sans me demander si cela était bon ou non pour moi. De toute façon, je pense que les gens préfèrent la spontanéité et le naturel. Je suis donc restée égale à moi-même.

Stéphane : Je ne fais jamais les choses en fonction de mon image que ce soit dans Pékin, mes autres émissions ou dans la vie de tous les jours. Caméras ou non, je partais pour vivre une aventure forte.

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Par : Nico

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