News Pékin Express
ITW d'Isabelle à closer mai 2011
« Pékin Express » : l'incroyable aventure africaine de Nicolas continue sur le petit écran
On l'avait quitté la veille de la diffusion de l'émission « Pékin Express », sur la Grand-Place ...
Excité à l'idée de revivre, par écran interposé, son incroyable aventure. Quatre semaines plus tard, Nicolas, un graphiste de 30 ans, n'est toujours pas redescendu de son nuage. Et pour cause ! Après avoir commencé tranquillement son périple en Égypte, avec la ravissante Ingrid, quelques jours avant le début de la révolution, les téléspectateurs ont pu suivre ses aventures au Kenya.
Et le moins que l'on puisse dire c'est que le trentenaire « à l'âme de baroudeur » n'a pour le moment pas déçu ses supporters. Mieux, ces deux dernières semaines, il est monté sur le podium à la fin de chaque étape.
De quoi laisser présager un bel avenir sur cette route des grands fauves, le thème de l'émission, à travers le continent africain. « Plus j'avance dans cette aventure, plus je me découvre des capacités que je ne soupçonnais pas, confirme t-il. Comme pour l'épreuve de dégustation, diffusée la semaine dernière, où j'ai dû avaler des pattes de poulet cru, des criquets et des viscères. Si on m'avait dit ça la veille je n'y serais pas allé. Mais avec l'enjeu du safari photo, je me suis jeté sur l'assiette ! C'est le mental qui compte », plaisante t-il.
« Vous avez gagné ? »
Hébergement chez l'habitant, safari en solitaire à seulement quelques mètres des plus dangereux animaux de la savane, épreuves physiques... Pour Nicolas, le Kenya n'a pas été de tout repos mais reste « parmi (ses) meilleurs souvenirs ».
L'occasion de raconter quelques anecdotes inédites. « La première nuit au Kenya nous avons été hébergés par une veuve et ses cinq enfants. Le soir, elle m'a demandé de rentrer les vaches dans la maison, qui servait aussi d'étable, c'est là que j'ai vu la tombe de son mari, dans son jardin. En fait, j'étais en train de marcher dessus. J'étais vraiment gêné, mais pas elle. Ça nous a permis de discuter de nos traditions, de parler de nos vies.
C'était vraiment une belle expérience. » Nicolas un Lillois heureux, mais un brin gaffeur. Assurément. D'ailleurs, il promet quelques autres perles d'ici la fin de l'émission. Heureux, donc, mais un peu frustré aussi « de ne pas revoir certains moments, même si le montage reste vraiment très proche de la réalité. » En attendant de découvrir les prochains épisodes, c'est dans les rues de Lille qu'il se prête volontiers au jeu des photos et autographes, comme samedi dernier, alors que ce supporter des Dogues s'apprêtait à regarder la finale de la Coupe de France. « Ça fait bizarre car je n'ai rien fait, mais ça m'amuse et je raconte mes anecdotes avec plaisir. » Seule une réponse manque systématiquement : « Alors, vous avez gagné ? » « Ça, on me le demande presque à chaque fois, mais je n'ai pas le droit d'y répondre. » Pour le savoir, rendez-vous devant votre téléviseur...
• C. DY. LA VOIX DU NORD 18 MAI 2011
L’aventure africaine de Denis
« Je ne vais pas décevoir », promet Denis Bastien, cet ancien hôtelier de Vittel, candidat dans « Pékin Express » (qui se déroule en Afrique !).
Alors, vous êtes toujours dans l’aventure ?
Je suis toujours de la course, mais c’était une course très éprouvante, jusqu’à la fin, j’ai beaucoup marché dans la savane et j’étais vraiment lessivé.
Finalement, la cohabitation s’est bien passée avec César, votre compagnon de route ?
Oui, très bien, mais j’ai eu un changement de binôme, et quand on m’a annoncé que César allait me quitter pour la fin de l’étape, j’ai craqué, je n’avais pas envie qu’on me l’enlève.
Depuis le début de la diffusion, vous avez ressenti une certaine notoriété ?
Oui, on m’a félicité pour avoir le courage de faire cette course, avoir eu la chance au départ d’être sélectionné, on est quand même 35.000 à s’inscrire à cette aventure. Au fur et à mesure, les gens découvrent que je ne me laisse pas faire, que j’ai envie, et quand les gens passent devant chez moi, je n’ai que du positif, je n’ai encore pas vu de négatif. Je me bats pour les Vosges, je me bats pour ma ville de Vittel, et ça, je pense que les gens le ressentent bien.
Vous vous reconnaissez dans les images diffusées ?
Je me dis que je suis une boule de nerfs, je ne pensais pas que j’étais comme ça, en fait on me dit que c’est ma personnalité. Ce que j’ai fait la veille je n’y pense plus, je pense toujours au lendemain, et sur la course je suis un peu pareil, même si j’ai fait quatre étapes je veux en faire cinq, si j’en fais cinq je veux en faire six… Pour moi, rien n’est acquis.
Mais vous vous y retrouvez quand même ?
Je peux vous assurer que je ne suis pas quelqu’un qui a peur, on me montre comme quelqu’un de craintif sur les araignées, je n’ai pas peur des araignées mais je me méfie des bestioles qui sont en dehors de mes Vosges ; là-bas, qu’elles soient petites ou grosses, il faut s’en méfier. Ils ont montré ça, mais ça me fait tellement rire que je me retrouve quand même dans mon personnage.
Vous avez l’impression qu’on accole un personnage à chaque candidat ?
Oui, je trouve que le casting était bien fait, on pense qu’on est différent mais ils voient tout de suite notre personnalité quand même, ils sont forts là-dessus.
Propos recueillis Par Patrick TARDIT OUEST FRANCE
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |